Quiproquos amoureux, complexité des sentiments à l’âge où s’éveille le désir : les deux nouvellles qui composent ce recueil, « Une histoire au crépuscule » (1911), sorte de marivaudage gothique, et « Petite nouvelle d’été » (1906), qui évoquera certainement quelque chose aux lecteurs de «La Pornographie» de Gombrowicz, parlent de cruauté, d’aveuglement et d’emprise. Brillant et psychanalytique, Zweig y montre qu’aimer et être aimé coïncident beaucoup plus rarement qu’on le croit…

Ed. Payot – 16/09/2020

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