«La maison de Lialia», «Une vie longue, si longue…» et «Goulia»… Dans ces trois nouvelles issues de son recueil Les pauvres parents, paru en 1993, la romancière russe Ludmila Oulitskaïa décrit par petites touches, avec une justesse et une acuité qui font d’elle la digne héritière de Tchékhov, la vie dans le Moscou soviétique de l’après-guerre. «Olga Alexandrovna – en famille on l’appelait Lialia – avait un caractère en or. Belle et légère, elle ne demandait pas grand-chose à la vie, mais ne laissait pas échapper ce qui lui passait entre les mains.»

Ed. Folio – 07/12/2023

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