« Sur le toit d’ardoises déchaussées, un promontoire en fer s’élançait tel un plongeoir vers la vieille ville. Je m’approchai et déchiffrai l’inscription sur le panneau en contreplaqué : « Pas plus d’un suicide par jour ».
C’est avec une bonne pincée d’humour grinçant qu’Iris Petitjean évoque dans cette dystopie universitaire le sort vacillant d’étudiants mélancoliques. Attention risque de chutes !

La nouvelle est illustrée par des croquis de Mireille Choubrac, prélevés dans ses carnets de déambulation. La réalité s’estompe alors, se déforme, au gré des intuitions laissant place à l’étrangeté, à l’absurde, à l’énigme, aux équilibres si fragiles, comme un écho à l’univers de « « « La gravité du moment ».

Les éditions Y – 21/02/2023

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