C’est troublant, un corps. C’est ce que les narratrices semblent dire. Tantôt elles regardent, sans concessions ; tantôt elles s’exposent. Si tous nos fantasmes se concrétisaient, il semblerait que la violence des relations amoureuses n’ait pas de limites. Illusions et ravages intimes ne seraient donc que leur seule expression ? Pourtant, l’une des femmes de ces récits danse et ainsi se joue de sa plainte. Une autre goûte un bref instant de douceur à la faveur d’un ciel étoilé. Peut-être est-il possible de revenir d’un univers aussi noir. Ou « de ne pas se perdre dans la nuit » définitivement.

Ed. The menthol house – 01/06/2021

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