« Il prend ma main, je prends la sienne. C’est une main veloutée, sombre, dont les lignes à l’intérieur sont profondes. Il y a dans l’air ce léger parfum blanc qui émane des coques de marronniers que nous foulons. Ce léger parfum oriental qui émane de son costume ou de la lumière du boulevard, je ne sais pas. »
On ne quitte pas la Grande Maison. On l’aime d’amour. Un sortilège que seul, peut-être, un autre amour peut vaincre. Une nouvelle de Danièle Pétrès.
Ed. L’ourse brune – 10/06/2022
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