À partir d’histoires croisées, l’auteur essaie de montrer qu’Étienne, comme les différents personnages, a une vie « sociale » et une vie « réelle », sa vie « réelle » étant parfois très éloignée de ce que l’on peut penser de lui.
La vie sociale est une posture très souvent inconsciente qui permet d’être intégré à la société sdans laquelle on vit.
Comme au « strip-poker » où les joueurs dévoilent progressivement leur nudité, les personnages laissent apparaître, peu à peu, leur nature profonde.
Pour l’auteur, le mot clé est « façade »
Personne n’est ce que l’on croit.
Tout le monde se construit une façade qui est susceptible de se fissurer à l’occasion de circonstances particulières réelles (secrets de famille, accidents de la vie, etc.) ou de situations imaginaires (fantasmes, désirs, etc.).
Ed. St Honoré (30/03/2016)
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