Ce deuxième opus relate la suite des aventures de Magnus. L’on assiste à une poussée autobiographique substantielle au sein d’entités récurrentes que sont la Ville, les souvenirs… et la littérature, celle-ci accentuant sa projection, son devenir. Le prisme du dédoublement devient de plus en plus large, en adéquation avec la définition hallucinatoire de la littérature. La littérature est une spéculation permanente qui proscrit toute forme de repos, affirme l’un des doubles de Magnus…
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