Les fenêtres de l’immeuble s’éclairaient unes à unes et laissaient enfin au creux de la nuit, apparaître ses blessures. Elles illuminaient mon stylo malgré l’obscurité. J’ignorais les visages qui l’habitaient mais néanmoins, je connaissais un pan de leur histoire. Ce sont ces instants de vie que j’ai écrit pour moi, pour vous avant de prendre conscience que je les écrivais pour eux.
Ed. St Honoré (30/02/2016)
à lire, c’est époustouflant !