Texte majeur, mais totalement méconnu, même par ses fans, «Joséphine la cantatrice» est l’ultime écrit de Kafka. On peut le considérer comme son testament littéraire. Rédigé en mars 1924, deux mois avant sa mort, et publié le 20 avril, il brosse le portrait grinçant d’une cantatrice pleine de superbe, sans doute la dernière artiste de son pays, qu’on adule sans pour autant apprécier son chant, ni même la musique en général. Mais quelle est donc cette société où l’art semble n’avoir plus qu’une fonction d’ornement ?

Editions Payot – 16/10/2019

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