Du plus sentimental au plus transgressif, les nouvelles de cette troisième édition ont décliné dans toutes les situations la contrainte de contexte « Un dîner de con » et le dernier mot tiré au sort, « commode». Si le corps est prison d’Éric Abbel se déroule dans une prison américaine où un condamné à mort, peu avant son exécution, profite de la présence d’une prostituée, offerte comme une dernière cigarette… par l’administration pénitentiaire. Mais à l’occasion de ce très singulier dîner, souvenirs et fantômes se rappellent à lui, sous la forme onirique de celle qui l’a fait vivre jusqu’à la mort expiatoire.
Ed. Au Diable Vauvert – 18/10/2018
Laisser un commentaire