attribué à Franz Bartelt pour La mort d’Edgar édité chez Gallimard Editeur.
On retrouve dans ces neuf nouvelles la verve tour à tour truculente, sarcastique ou philosophique de Bartelt, son attention aux êtres et à leurs misères. On y danse sur des musiques tristes – la ‘Samba des otaries’ ou le ‘Quadrille des déménageurs trapus’, on s’y suicide comme on plaisante, on y rêve qu’on est ressuscité mais on meurt en se réveillant… Une fille parfaitement chaste a une réputation de lubricité qui enflamme tous les mâles du pays, un romanciers se met à l’épreuve du réel en livrant sa femme à la débauche pour écrire un roman érotique (elle y prendra goût, hélas).
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