Il ne s’agit pas à proprement parler de nouvelles, mais d’un ensemble de textes courts, parfois même très courts (quelques lignes), pouvant aussi bien fixer des impressions fugaces ou décrire des expériences intérieures aussi profondes que volatiles, que raconter de drôles d’histoires ou faire revivre des souvenirs. La langue est belle, et le ton souvent empreint de mélancolie, presque toujours relevée d’une pincée d’humour noir. En bref, c’est délicat et intimiste. À noter que Laurence Albert, née en 1964, est déjà l’auteur d’un roman, L’Hypothèse des forêts, disponible en poche chez Pocket. Les textes du recueil sont illustrés par Emmanuel Gross, déjà illustrateur de 2 recueils chez Antidata (Haine 7 et Cosmic jobs).

Ed. Antidata – 15/02/2018

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