Peinture dérangeante des travers modernes, portrait tantôt tendre, tantôt sarcastique de nos failles d’hommes, « Les fêlés laissent passer la lumière » porte un regard humaniste sur une brochette de névrosés. C’est un plaidoyer pour la tolérance envers ce et ceux qu’on juge sans rien savoir à leur sujet. Sept histoires d’êtres humains et de tous leurs efforts pour être aimés et trouver leur place dans ce monde de fous. Sept personnages aux drames intimes insoupçonnés, aux secrets inavouables, aux troubles obsessionnels. Des non-conformistes, des freaks, des queers, des rebelles, des imposteurs de tous les jours avec un côté punk dans l’âme. Ils rêvent d’autre chose, d’être ailleurs. Ils se battent pour vivre ou ils foutent leur vie en l’air. Ils se détestent mais ils arrivent toujours à aimer. Ils cherchent à échapper à un système qu’ils ne comprennent pas. Ils font des choix qui les font devenir des Hommes ou qui révèlent qu’ils en sont toujours. Ils sont faibles, parce qu’ils sont humains. Et puis ils sont beaux, pour la même raison.

Ed. Presses Littéraires – 11/10/2019

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